Sa
protagoniste
est
archéologue
et
professeure
à
l'université
McGill
de
Montréal.
Elle
se
rend
en
terre
croate
afin
de
prendre
des
vacances
avec
son
amant
avant
d'exécuter
la
mission
que
lui
a
confiée
l'Unesco.
Son
voyage
se
transforme
rapidement
en
cauchemar
quand
elle
rencontre
une
femme
qui
la
met
au
parfum
des
activités
d'une
société
secrète
séquestrant
des
pucelles
qu'ils
violent
dans
le
cadre
d'un
rite
barbare.
Joséphine
ne
peut
se
retenir
de
mener
une
enquête
périlleuse
au
cœur
d'une
île
qui
vit
la
peur
de
l'enlèvement.
L'intrigue
foisonne
de
rebondissements.
Ça
soutient
l'intérêt
certes,
mais
ça
se
gâte
quand
l'auteure
entraîne
le
lecteur
dans
un
labyrinthe
complexe
par
ses
références
à
la
culture
grecque,
vénitienne,
etc.
Le
roman
veut
englober
toutes
les
cultures
qui
se
sont
côtoyées
le
long
de
l'Adriatique.
En
fait,
l'art
romanesque
cède
sa
place
à
un
discours
informatif
assez
indigeste.
Heureusement
qu'il
reste
l'amour
entre
les
deux
principaux
protagonistes.
'est
intéressant,
mais
l'auteure
court
trop
de
lièvres
à
fois
pour
appuyer
son
message
plutôt
doctrinal.
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